J'écris de Lisbonne où nous venons d'arriver avec un vol de la compagnie Aigle Azur. Grand soleil et ciel bleu au dessus de la ville alors que le chauffeur de taxi qui nous ramène chez nous nous disait qu'il pleuvait encore ce matin. Je défais mes bagages et, enfer et damnation, je ne retrouve ni les herbes ni la mère de kefir que Jean-Maris m'avait donnés à Paris juste avant le départ de Charlotte. Je suis désespéré. Je me réjouissais de faire partir mon kéfir à l'eau que j'avais beaucoup apprécié chez Jean-Maris et voilà, le sachet plastique dans lequel il avait tout mis, a dû rester chez lui. J'ai très envie de dire "Merde", mais je ne ferai que l'écrire ce qui change beaucoup la tonalité de mon ressentiment, n'est-ce pas ?
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