jeudi 23 novembre 2017

Madoff

La fin du livre que je lisais sur mon kindle, First Person de Richard Flanagan, est très philosophique et traîne en longueur. Le roman est passionnant tant qu'il est question du rapport entre le nègre —le prête-plume selon l'Académie française— et celui dont il raconte la biographie, en l'occurrence, dans ce livre, il s'agit d'un escroc de haute voltige, Siegfried Heidl, style Bernard Madoff, qui a fait l'objet d'un film réalisé par Barry Levinson, avec Robert De Niro, film d'ailleurs que je n'ai pas encore vu. 

Je suis maintenant à Luxembourg où je vais tenter, avec Jeannot, de boucler la rédaction de notre "destructionnaire". Il ne fait pas très froid. Mais ma nuit a été agitée avec toutes sortes de rêves, dont certains très érotiques. Des rêves qui font du bien, surtout à mon âge. D'autres rêves, au cours de la même nuit, étaient moins drôles. Je vais maintenant m'attaquer au Goncourt de cette année.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire