jeudi 15 novembre 2018

Bondrée

Bondrée par Andrée A. Michaud (Payot & Rivages, 217), qui m'avait été recommandé par une libraire charmante de la rue Dunkerque à Paris. J'ai lu ce roman avec un intérêt concentré sur l'écriture de cette auteure canadienne. Le récit lui-même —une sorte de thriller— ne m'a pas vraiment convaincu. L'écriture par contre, par son rythme, ses tics terminologiques, ses échappées anglophones fréquentes nous rappelle constamment l'origine canadienne de cette écrivaine. Le thème de la forêt y est très présent avec un lac et des cabanes... Ceci dit, je ne recommande pas la lecture de ce long roman un peu mièvre. "Bondrée" vient de l'anglais boundary. C'est le nom de la région où l'action se passe. J'ai trouvé intéressant de donner à un pays ce nom de "frontière". 

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