jeudi 13 février 2020

NOS

J'avais oublié mon sac dans la voiture d'Elsa ce qui m'a empêché de continuer ma lecture d'Eça de Queiros. Mais j'avais le livre de Didier Eribon, Écrits sur la psychanalyse (Fayard, 2019) dont j'ai lu avec beaucoup d'intérêt les cent premières pages. L'auteur fait une critique très sévère de la psychanalyse avec comme points de mire Freud et Lacan.

[Je viens d'être interrompu par l'arrivée d'un technicien de NOS qui était censé nous installer l'internet après plus de deux mois d'attente... mais le bonhomme me déclare qu'il ne peut pas faire le travail parce que l'équipe de NOS qui doit raccorder l'immeuble au réseau, n'est pas venue établir ces connexions. Résultat : toujours pas d'internet. Cette maison est une cause permanente de frustrations liées au manque de professionnalisme des techniciens portugais. Autre exemple : en principe ils ont installé le chauffage au 4e étage. Ce chauffage a fonctionné pendant une heure environ. Ensuite, les techniciens étant partis sans nous laisser le mode d'emploi, nous n'avons toujours pas réussi à le faire fonctionner à nouveau. Pourquoi ne nous ont-ils pas laisser le mode d'emploi ? Mystère !]

Je reviendrai sur les critiques de la psychanalyse par Eribon parce qu'elles ne me semblent pas entièrement justifiées. En attendant, ayant pu récupérer le livre que je lisais (Eça de Queiros), j'en ai continué la lecture et je suis dedans pour l'instant. C'est un roman magnifique sur Paris à la fin du XIXe siècle, un roman plein d'humour et d'ironie quand il traite de la fascination des bourgeois pour le progrès. Certains passages sont à la fois très drôles et très profonds. J'en citerai plus tard quelques extraits particulièrement savoureux.

Hier j'ai commencé un jeûne. Et, aujourd'hui, je le transforme en un jeûne sec, c'est-à-dire ni manger ni boire. Pas évident.

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