vendredi 20 novembre 2020

Branco

 Toujours sur ce documentaire controversé, je voudrais quand même dire que ce film a un mérite important : il nous met en garde contre la peur. Il me parait indubitable que nos gouvernants ont misé sur la peur pour faire passer leurs mesures les plus coercitives alors qu’ils auraient dû miser sur la responsabilité des citoyens ce qui est toujours possible quand on traite ces citoyens correctement. Ce qui m’étonne c’est que les attaques de ce film que l’on peut lire dans les médias ne relèvent jamais les aspects positifs de cette mise en question critique —parfois exagérée, certes— de la gestion de l’épidémie, oublient complètement la mise en évidence des conflits d’intérêts entre la pratique de la médecine en France et Big Pharma, négligent totalement cette dénonciation de la corruption, pourtant attestée par toutes les enquêtes les plus sérieuses. Les accusations de complotisme me semblent bien peu de choses à côté de cette nouvelle alerte contre la corruption à tous les niveaux.

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Hier soir j’ai vu l’entretien que Juan Branco, l’auteur du livre Crépuscule, que je n’ai pas lu mais que j’ai envie de lire, a donné sur Thinkerview, un site qui s’est sans doute spécialisé dans la diffusion de la parole critique en France. Branco est apparemment également accusé de complotisme —décidément, il semblerait que ce soit le crime à la mode— parce qu’il rue dans les brancards du « petit Paris » dont il dénonce la fatuité, le vide abyssal d’idées, l’arrogance inversement proportionnelle à leur nullité, l’avidité.  On a aucune difficulté à croire ce qu’il dit.


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