mercredi 30 décembre 2020

Parker

 Je termine actuellement un polar de Robert B. Parker, Chance, Penguin, 1996. Je ne me souviens pas l’avoir déjà lu. Il se trouvait sur mon bureau depuis quelque temps et je ne sais pas comment il est arrivé là. Spenser est le détective qui résoudra l’énigme. C’est un « privé » assez sympathique qui contrairement à la plupart de ses confrères américains, est marié avec une femme qu’il aime, boit plutôt de la bière que du whisky, tout en restant, évidemment, un vrai dur. L’écriture de Parker est également intéressante : il y a peu de descriptions —mais quand il y en a, elles sont très précises et évocatrices— tout se passe en dialogues rondement menés, sans tirades, ni confessions. Cela donne un rythme soutenu à la lecture.

J’ai encore quelques ennuis niveau « tripes ». Ce n’est vraiment pas drôle !

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