lundi 1 mars 2021

Kehlmann

Page 223 du livre d’Ocean Vuong que j’ai terminé hier, on trouve ce bel éloge de la lecture :

« Une page qui se tourne, c’est une aile soulevée sans sa jumelle, et donc sans vol possible. Et pourtant nous sommes transportés. »

J’ai entamé l’ouvrage qui m’a été recommandé par Eric H., Les Arpenteurs du monde de Daniel Kehlmann (traduit de l’allemand par Juliette Aubert, Babel, Actes Sud, 2007). Il s’agit d’une double biographie romancée : celle d’Alexander von Humbolt, dont l’auteur nous raconte les voyages extraordinaires en Amérique du Sud et celle de Carl Friedrich Gauss, le prince des mathématiciens.  

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