jeudi 27 janvier 2022

Powers

 


Je lis actuellement le roman Sidérations de Richard Powers (Actes Sud, 2021, traduction de Serge Chauvin), l’auteur de L’Arbre-Monde (voir 1er novembre 2018) que j’avais offert à Richard. Ce roman est très étrange. Il met en scène un père et son fils. Le père est astrobiologiste. Le fils milite pour la cause animale. Il a neuf ans. Sa mère est morte et défendait elle aussi la cause des animaux. Le fils est agité et sa prof ne supporte pas son indiscipline. Le père ne veut pas lui donner de la Ritaline. Il l’emmène chez un neuroscientifique, qui réussit à le calmer quelque peu à travers une expérimentation qui permet à l’enfant de mieux contrôler l’activité de son propre cerveau. J’en suis là.

J’ai eu un nouveau commentaire de l’inconnu d’hier et d’avant-hier. On dirait qu’il m’en veut vraiment. Je dois le rassurer. Mon blog ne cherche pas à faire avancer quoique ce soit, dans quelque direction que ce soit. J’y exprime quelques idées de temps en temps, j’y parle de mes lectures, j’y évoque mes voyages… C’est avec ce blog que je garde un lien avec ma famille et mes amis les plus chers qui me témoignent souvent une certaine reconnaissance pour la manière dont ce blog réussit à maintenir ces liens. Rien de plus. S’il réussit à me faire de nouveaux amis, j’en suis très heureux. Si par contre, il suscite des inimitiés, cela me rend perplexe même si je sais gré à ces personnes d’exprimer leurs désaccords éventuels.


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