vendredi 16 février 2024

Navalny

Le monde apprend aujourd'hui la mort d'Alexei Navalny, l'un des opposants les plus déterminés de Poutine. Je me sens personnellement attristé par cet événement qui consacre, à la veille de sa réélection comme président de la Russie, Poutine comme un meurtrier sans scrupule. Car, semble-t-il, il n'y a aucun doute sur les responsabilités du pouvoir russe de cet assassinat. Comme me l'a souvent dit Samantha, Navalny n'était pas un ange mais on ne peut guère lui dénier une vertu essentielle : le courage. Courage admirable dont peu d'entre nous sont capables.

J'ai commencé hier soir la lecture du roman de Gaspard Kœnig, Humus. Il m'a été chaudement recommandé par l'un des membres du groupe de lecteurs qui se réunit régulièrement à la médiathèque de l'Institut français du Portugal. Donc, j'y étais hier et j'ai choisi de parler du livre de David Grann, Les naufragés du Wager, dont j'ai parlé récemment, et du petit livre de Benoît Séverac, Le tableau du peintre juif, sur le quel j'ai également dit quelques mots récemment.

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