vendredi 12 juin 2015

Climatisation

Hier, dans l'avion, j'ai vraiment souffert du froid de cette climatisation infernale qu'ils mettent à pleins tubes, sous prétexte que l'avion décolle d'un pays du Sud. Alors que, précisément, ce jour-là, à Lisbonne, il faisait glacial, la ville étant balayée par un vent du nord que j'ai eu du mal à supporter pendant le déjeuner, avec Z., sur la terrasse du petit restaurant de Senhor Fernando, juste en bas de chez nous dans la Rua da Sociedade Farmaceutica. Z. me parlait de son livre sur Bachelard tout en me prêtant le livre de son ami anglais, Anthony Rudolf, écrivain, critique, traducteur, poète et éditeur: 800 pages de balayage littéraire européen du XXe siècle. Une somme autobiographique impressionnante.

Au début de la soirée, j'ai retrouvé tous les membres du CEIP avec plaisir. Un peu comme une famille. Qui s'agrandit de temps en temps, notamment avec l'arrivée de Tim, un ancien élève du lycée Ermesinde qui, maintenant, fait partie de notre petit comité.

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