dimanche 10 décembre 2017

Alexievitch

Je me suis plongé à nouveau dans Svetlana Alexievitch dont j'avais déjà lu La fin de l'homme rouge il y a quelque temps. Pour le moment c'est La guerre n'a pas un visage de femme, un ensemble de témoignages féminins sur la guerre. L'auteur a eu le prix Nobel de littérature en 2015.  J'ai choisi ce livre à l'Institut français parce que je voulais lire La supplication, qui recueille des témoignages de Tchernobyl. Mais comme il y avait ce roman sur la guerre vue par les femmes avant, j'ai commencé à le lire. C'est très beau. Un peu répétitif dans l'horreur des combats et dans les nécessités de la féminité, mais on ne s'en lasse pas. 

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