Je me suis plongé à nouveau dans Svetlana Alexievitch dont j'avais déjà lu La fin de l'homme rouge il y a quelque temps. Pour le moment c'est La guerre n'a pas un visage de femme, un ensemble de témoignages féminins sur la guerre. L'auteur a eu le prix Nobel de littérature en 2015. J'ai choisi ce livre à l'Institut français parce que je voulais lire La supplication, qui recueille des témoignages de Tchernobyl. Mais comme il y avait ce roman sur la guerre vue par les femmes avant, j'ai commencé à le lire. C'est très beau. Un peu répétitif dans l'horreur des combats et dans les nécessités de la féminité, mais on ne s'en lasse pas. Rechercher dans ce blog
dimanche 10 décembre 2017
Alexievitch
Je me suis plongé à nouveau dans Svetlana Alexievitch dont j'avais déjà lu La fin de l'homme rouge il y a quelque temps. Pour le moment c'est La guerre n'a pas un visage de femme, un ensemble de témoignages féminins sur la guerre. L'auteur a eu le prix Nobel de littérature en 2015. J'ai choisi ce livre à l'Institut français parce que je voulais lire La supplication, qui recueille des témoignages de Tchernobyl. Mais comme il y avait ce roman sur la guerre vue par les femmes avant, j'ai commencé à le lire. C'est très beau. Un peu répétitif dans l'horreur des combats et dans les nécessités de la féminité, mais on ne s'en lasse pas.
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