J'ai encore sauté un jour dans l'écriture quotidienne de mon blog. Je me lève assez tard actuellement parce que, depuis que l'on a rajouté une couverture à notre lit, le sommeil nous retient dans la chaleur de ses bras plus longtemps. Alors tout est décalé parce que nous allons au lit plus tard. Pourquoi ? parce que j'ai repris les flambées du soir et le feu dans la cheminée nous retient près de lui jusqu'à ce qu'il s'éteigne.
Je ne voudrais pas que mon dernier message intitulé "Ça" soit mal compris. Certes, ce fut une épreuve et j'ai surtout évoqué les aspects "cour des miracles" du lieu qui m'avait accueilli. Mais je n'ai rien dit sur les soins et l'attention médicale dont j'ai fait l'objet de la part d'un personnel très présent et efficace, parfois un peu brusque certes, mais toujours en alerte pour répondre, lentement, aux urgences. Aux urgences, on apprend la lenteur et la patience. Il faut attendre, parce que nous sommes nombreux à requérir l'attention de ceux et celles qui nous soignent. À la fin de mon message, j'ai bien précisé, dans un second temps il est vrai, que j'avais beaucoup appris au milieu de cette assemblée de vieux débris. Je suis convaincu que Macron profiterait bien d'une épreuve comme celle-là. Je crains cependant qu'il n'y aurait reçu que la confirmation de ses préjugés selon les quels il y a des gens qui ne sont "rien" comme il le prétendait au début de son premier mandat, tandis que d'autres, les "riches" ont droit à tous les privilèges.
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