L’actualité est assez déprimante pour l’instant. Les Américains, enfin certains Américains, ont manifesté leur mauvaise humeur vis à vis des décisions commerciales de Trump et sa clique. En France, ce n’est pas brillant non plus. Au Portugal, ça va. Sauf que le temps est très variable et qu’il pleut souvent. De véritables draches comme dans les romans de mon père et de Simenon. Mais je rêve beaucoup. La nuit dernière je travaillais à côté de Josiane à un bureau qui ressemblait fort aux bureaux de la salle de rédaction des DNA. Nous sommes partis ensemble. Il y avait une inondation dans la ville. Je me retrouve sur un sentier de forêt semblable à ceux que j’empruntais à vélo au Fuchs am Buckel quand le Rhin débordait au printemps. J’aperçois soudain celui qui m’a volé ma trottinette électrique. Je le suis. Nous nous retrouvons dans un quartier où les maisons sont des cubes de béton. Je finis par lui arracher la trottinette qu’´il serrait dans ses bras et qu’il avait dissimulée dans une pièce de tissu sombre. Il résiste mais je réussis à reprendre mon bien en le menaçant de le frapper. Il a l’air si désolé avec ses grands yeux très bleus que je pourrais avoir pitié de lui. Malheureusement je me réveille avant que ce sentiment ne m’étreigne.
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