Rechercher dans ce blog

mardi 27 mai 2025

Coulon

Hier nous sommes allés déjeuner dans un restaurant iranien très, très bon avec des amis, iraniens vivant aux États Unis, à San Francisco. Un déjeuner très agréable mais trop copieux à mon avis, ce qui fait que je n'ai plus mangé depuis. Un jeûne improvisé mais qui me fera, j'en suis sûr, le plus grand bien. Je compte en tout cas le poursuivre jusqu'à demain matin. Mais il est possible que je le poursuive pendant un ou deux jours.

Après le beau petit livre de Delphine Horvilleur, j'ai entamé la lecture d'une auteure que je ne connaissais pas, Cécile Coulon qui, en 2024, a publié La langue des choses cachées, aux éditions L'iconoclaste. C'est une écriture très poétique et fascinante qui se met au service d'une histoire très étrange qu'il est difficile de résumer. Il n'y a aucun nom propre dans le texte. Les lieux sont décrits —un petit village de campagne—maais on ne sait pas où cette histoire se déroule ni précisément ce qui est en jeu. Peut-être la guérison d'un enfant par celui que l'auteure appelle "le fils" et que sa mère aurait élevé pour lui transmettre des dons très particuliers, notamment celui de "voir" sur certains lieux, des événements qui s'y sont passés dans le temps.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire