Je fonce, avec plein d’autres compagnons de voyage, vers Paris. Le train va très vite. Mon regard n’a pas le temps de pénétrer dans les forêts qui bordent les voies. Il fait très beau. Hier il midi j’ai déjeuné ches Célia avec Irène, Hendrik et Joaquim. Un gratin dauphinois. À la gare, j’ai acheté un hors série sur la pensée de Gilles Deleuze.
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