Muriel Barbery, Thomas Helder, 2024. C'est un livre confus, aussi brouillon que peuvent l'être nos esprits quand nous nous réunissons après la mort d'un proche, les personnages se parlent mais on ne fait pas très attention à ce qu'ils se disent, parce que, tout compte fait, cela n'a pas beaucoup d'importance, au détour d'un mort, un poète qui se partageait entre Amsterdam et un petit village de l'Aubrac, en France, sous la neige, pendant qu'un feu crépite dans la cheminée, sans que cela soit plus sensé que les paroles qui clapotent dans la confusion. Ce roman —bien écrit— est ennuyeux.
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