C’était le thème de mon rêve la nuit dernière. Il fallait alimenter un poêle en morceaux de bois récoltés un peu partout dans l’appartement. Des pieds de table et de chaise, des coffres, des morceaux d’armoires, bref, de tout pour faire feu de tout bois. Le poêle en question ressemblait à celui qui se trouvait dans ma chambre d’adolescent, allée Space, à Strasbourg. C’est dans ce poêle que j’avais brûlé l’œuvre poétique qui m’avait occupé pendant plusieurs années. C’était en été et le tirage était défaillant ce qui fait que, bientôt, une fumée très épaisse avait envahi la chambre. La fumée traversa le plancher et affola les deux vielles femmes qui occupaient le rez-de-chaussée. Elles téléphonèrent aux pompiers qui, très vite, sonnèrent à la porte de notre appartement. Mon père fit une drôle de tête devant un pompier qui, muni d’une hache, s’apprètait à défoncer la porte ! Quelle affaire !
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