L’AF, c’est l’arbre fabuleux dont j’ai rêvé cette nuit. J’étais avec Irène et nous découvrons dans une cour de faubourg parisien, un arbre énorme, dont le tronc était penché de telle sorte que l’on pouvait atteindre les branches très facilement. Quand on montait dans l’arbre on découvrait de véritables salles, avec parquets, d’où sortaient de grosses branches qui se prolongeaient vers le haut et qui soutenaient d’autres salles. Nous rencontrons deux personnes avec qui nous discutons un peu mais je m’aperçois que l’un d’eux m’a volé mon porte-monnaie qui se trouve toujours dans la poche arrière droite de mon pantalon. En fait, c’est lui qui me dit qu’il l’a volé. Je réagis en lui faisant tâter la force de mon parapluie dans le dos : un bon coup pour lui apprendre !
Nos discussions avec Andreas sont toujours passionnantes. Andreas est un grand lecteur, doué en outre d’une mémoire exceptionnelle : il se souvient de tout. C’est un plaisir de discuter avec lui. Il a les idées claires sur tous les sujets qu’il maîtrise, et notamment sur la psychanalyse dont il est devenu l’un des spécialistes les plus reconnus dans le monde.
Notre zoom familial d’hier a été très réussi. Il y avait de la joie à se retrouver ainsi pendant une heure par écrans interposés. Certes, ce n’est pas l’idéal mais dès que l’on pourra voyager à nouveau, j’irai à Paris, Strasbourg, Luxembourg, et quelques jours chez Martine en Grande Bretagne. Vivement que cela puisse se faire.
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