Nous sommes arrivés aux urgences de l’hôpital Sao Jose (pas loin de la maison) à 1h18 du matin. Il est maintenant 4h00 et on attend encore. On attend l’ambulance qui doit venir me chercher pour m’emmener dans un autre hôpital où je pourrai être reçu par un spécialiste de chirurgie artérielle (angiologie : Egas Moniz, l’inventeur de la lobotomie pour laquelle il a eu le prix Nobel). Ce spécialiste examinera ma jambe gauche qui présente des faiblesses artérielles importantes. Va-t-il m’opérer tout de suite ? Je n’en sais rien. Mais ce serait bien. Plus vite le danger d’un accident vasculaire sera écarté, mieux ce sera. En attendant et pour meubler cette attente je viens de lire la centième lettre de nos échanges épistolaires, entamés il y a environ six mois et que nous aimerions publier chez l’ éditeur du « destructionnaire ».
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