Aujourd'hui, un long rêve étrange. J'étais avec Philippe B. et nous avions décidé d'ouvrir les vannes. En fait, j'avais découvert une source d'eau dans un petit bois derrière la rue du Ballon à Strasbourg. Le bois était plein de broussailles quasi-inextricables mais la source était bien là. Depuis que je l'avais trouvée, l'Etat s'en était occupé et avait installé toute une tuyauterie pour, sans doute, en régler le débit. Philippe B. et moi nous décidons d'aller ouvrir les robinets. Du coup, il y a inondation. Il y avait déjà des constructions en bois dans la ville, comme des espèces de fortifications labyrinthiques, qui nous avaient donné du mal, Philippe et moi, pour arriver au petit bois où il y avait cette source d'eau. Mais au retour du bois, c'était encore pire. Je suis avec Charlotte et nous essayons de passer à travers une multitude d'obstacles, de pans inclinés, de fossés remplis d'eau qui faisaient penser à la Petite France de Strasbourg, etc. La répartition des tâches entre Philippe B. et moi était très claire : moi j'avais trouvé la source, lui, devait ouvrir les vannes.
Hier soir, j'ai terminé la traduction de Feyerabend. En tout cas le premier jet. J'ai aussitôt entrepris la traduction des notes, et la correction de certains détails. Mais il faudra encore le relire une fois ou deux avant de l'envoyer.
Question santé, ça va, sans plus. Il faut que je prenne rendez-vous chez le dentiste. Et j'attends le RV avec l'urologue mais j'ai été prévenu que cela pourrait durer des mois. Bon ! j'espère que Duduche va se tenir tranquille.
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