J'aime bien l'écriture de Patrick Modiano dont je suis en train de lire, à mes rares moments de libre, le dernier roman, Encre sympathique (Gallimard, 2019). Je viens de terminer la correction des épreuves du Destructionnaire qui, selon l'éditeur, doit être imprimé au courant de la semaine qui vient. Cette relecture d'un texte à quatre mains m'a convaincu que, malgré ses imperfections nombreuses, ce livre me semble opportun. Je reconnais volontiers qu'il est très négatif mais, pourquoi a-t-on si peur du négatif ? N'est-ce pas une étape nécessaire pour se mettre à repenser les choses de manière différente ? Or je crois que l'école et l'éducation en général doivent être mises en question de manière assez radicale pour donner lieu à de nouvelles perspectives.
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