C'est un livre que j'ai lu à petites doses, Le dernier des justes de Schwarz-Bart. Alors que, généralement, mes lectures sont intenses, rapides et, parfois, précipitées, le livre de Schwarz-Bart m'a imposé un rythme moins soutenu, environ une heure par jour depuis le début de la semaine. Hier à midi je suis allé discuter avec Isabel à la Fac sur les suites à donner à notre Colloque de septembre. Isabel a évoqué le nom de Jean Cayrol, écrivain et poète, auteur du commentaire du film d'Alain Resnais, Nuit et Brouillard (1956).
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