J'ai reçu l'Iliade d'Homère, dans la nouvelle —pas si nouvelle, en fait— traduction de Philippe Brunet et publiée au Seuil en 2010. J'ai commencé à lire et je succombe sous le charme de ces vers écrits il y a près de trois mille ans sans doute. Comme me le disait Jean-Marc dans un bref commentaire qu'il m'a envoyé, on retrouve dans cette traduction en français l'enchantement de l'oral.
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