Hier soir, Gaston est revenu de sa sortie sur les toits environnants avec un gros rat dans la gueule, un rat vivant qui avait au moins 15 cm sans compter la queue. Nous avons réussi à le remettre dehors avec un balai mais Maīs et Gaston ont surveillé ses faits et gestes pendant longtemps. Ce rat était galeux. Il n’allait pas bien et c’est sans doute la raison pour laquelle Gaston a réussi à le coincer. En tout cas, nous avons eu très peur de cette bête assez répugnante, il faut bien l’avouer.
Aujourd’hui, j’ai lu un petit roman de Simenon, L’escalier de fer, l’histoire d’un couple dont l’homme est persuadé que son épouse, sa chère épouse, est en train de l’empoisonner’ pour se remarier avec son amant. Comme toujours avec cet auteur, nous sommes plongés dans une atmosphère psychologique très prenante.