C'est le nom de ce commissaire de police, haut comme trois pommes (1,45m), qui dynamise les romans de Pierre Lemaître et qui est utilisé comme titre d'un volume où l'on retrouve les grands succès de cet auteur. J'ai lu hier son récit Rosy & John. Passionnant. On ne peut le lire que d'une traite.
Discussion très intéressante aujourd'hui avec Daniel sur l'école. Il m'a fait connaître les idées de Milton Friedman sur cette question à partir du diagnostic désasteux de l'école publique aux Etats Unis. Certes, je ne suis pas d'accord avec l'idée d'un "marché de l'éducation" telle qu'elle est défendue par Friedman, en donnant aux parents la responsabilité complète de l'éducation de leurs enfants quant au choix de l'école où ils placeraient leur progéniture. Par contre je trouve que le monopole de l'État sur l'éducation est très contestable au nom de l'uniformisation que ce monopole introduit aussi bien au niveau des enseignants que des élèves. Pourquoi l'école publique ne pourrait-elle pas être à l'origine d'une diversification de l'offre scolaire ? L'école doit défendre la diversité sans pour autant sacrifier l'égalité. Bien pensée, l'égalité serait à même de provoquer un renforcement de la diversité au lieu d'en être une restriction catastrophique.
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