Excellent, le livre de Nicolas Mathieu même si la fin de l'ouvrage est un peu rapide. On sent trop que l'auteur a envie de finir son roman. Alors il invente des événements qui précipitent le récit, je devrais dire, qui jette le récit dans le précipice du silence et de l'oubli.
Je traduis actuellement le petit commentaire que Martin Bauer a fait de mon article "Vulgarisation scientifique et idéologie". Cela me donne un peu d'entraînement en prévision de la traduction du livre de mon ami Z. sur Bachelard, que je compte entreprendre quand je serai tout seul pendant quinze jours dans le Gers à Mauroux.
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