J’ai vu hier, avec Isabel et son amie Kaula, dans le cadre du festival du film français organisé par l’Institut Français du Portugal, le film d’Anastasia Mikova et Yann Arthus Bertrand, Woman. Un film qui ne peut que nous émouvoir, tant cette succession de visages de femmes de tous les pays du monde, ces sourires qui sont presque toujours empreints de bonté et de bienveillance malgré des épreuves, souvent terribles, ces ventres de mères qui vont accoucher, ces rides qui gardent les traces de vies dures, « plus dures que celles des hommes » semble-t-il, ces histoires si personnelles sur l’éveil de leur sexualité, leurs premières règles, les coups dont elles sont victimes, tout cela, raconté à travers des images si belles qu’on ne peut guère éviter de les accuser d’esthétisme, tout cela, disais-je, est bouleversant.
Cet après-midi j’ai regardé le programme THEMA d’Arte diffusé hier soir sur l’histoire du Ku Klux Klan, l’équivalent dans les années 1920 de l’actuel QAnon dont le succès aux États Unis juste avant l’élection présidentielle ne laisse pas d’être bougrement inquiétant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire