Je n’ai presque pas dormi cette nuit. Suffisamment cependant pour que je fasse encore un rêve un peu chaotique mais qui est resté très vif au réveil. J’étais avec une jeune fille qui me fait penser à la fille de mon professeur d’italien au Lycée Fustel de Coulanges à Strasbourg. Monique. Elle m’entraînait derrière elle avec une force surprenante. À un moment donné, nous nous retrouvons tous les deux au sommet d’une immense échelle qui dépassait en hauteur l’appui qui la maintenait en place. Nous étions dans le vide. Monique était une fille que j’aimais bien. Je me souviens d’un bref dialogue que j’ai eu avec elle en juin 1960, place Kléber en face du bâtiment de l’ancienne Maison Rouge maintenant occupée par la FNAC. J’avais un pull gris clair un peu passé. Elle m’interpelle pour m’inviter le soir même à une « surboum ». C’est la première fois que j’étais invité à ce genre de choses et, après avoir prévenu que je ne savais pas danser, j’ai dit que je viendrais. C’est là que j’ai connu Irène, ma première épouse.
Si je n’ai pas bien dormi c’est sans doute en partie à cause de Maïs qui, vers 2 heures du matin, est venue m’apporter deux de ses petits chatons. Elle les a déposés tout contre. Moi et s’est elle-même allongée près d’eux, laissant les deux autres dans le panier douillet qu’Isabel leur avait préparé dans notre chambre. Bref, Maïs voulait dormir avec nous sans se séparer de deux de ses petits. C’était mignon mais pas forcément confortable. Du coup, on a mis le panier au milieu du lit.
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