Il y a longtemps que je n’ai plus raconté de rêves. Or, cette nuit j’en ai fait un auquel j’ai repensé au réveil. C’est à nouveau un rêve chaotique qui n’a pas l’air d’avoir un sens quelconque (et peut-être n’en a-t-il aucun). Le sens ne lui vient que du récit que l’on peut en tirer, évidemment. Rien n’a de sens en soi, faut-il le rappeler. Bref, j’étais hébergé dans une maison que ses occupants avaient quittée. J’étais donc seul et de plus, à l’extérieur de cette maison qui me faisait penser à la maison que notre famille a pu louer, à Strasbourg, en 1950, quand nous avons quitté la petite ville de Visé, près de Liège et de la frontière avec les Pays-Bas. Nous habitions donc la rue Ohmacht, n°2. J’ai essayé d’escalader le mur donnant sur la petite cour qui menait au garage. J’ai déformé une tringle qui barrait l’une des fenêtres. Je la répare comme je peux. Un cheval blanc apparaît. Je me retrouve avec un ami sur un chemin de campagne. Nous marchons ensemble et j’ai passé mon bras autour de ses épaules. Nous nous dirigeons vers une sorte de villa moderne où m’attendent mes anciens collègues du GERSULP. Philippe C. Vient à ma rencontre. Il a pris du poids. Anne M. est là également. Ma place est réservée au bout de la table.
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