Ce matin, ma cheville va beaucoup mieux. Elle est pratiquement complètement dégonflée. Je vais remettre un peu de Voltarène après ma douche et tout ira bien.
Une succession de rêves cette nuit, qui se suivaient comme les épisodes d'une série. Guy Ourisson était là. Il nous engageait, moi et un autre, pour surveiller la progression de la mise au point d'une arme nucléaire. C'était assez étrange. Chaque rêve rajoutait un ou plusieurs éléments au précédent. Et tout cela baignait dans une sorte de lumière que je ne peux caractériser autrement que par un son : le son "on". La lumière d'un son ? Je ne m'expliquerai pas sur ce point. C'est une question de synesthésie qui continue à me préoccuper souvent, toujours à la suite de ma lecture de David Abram. Il faut que je reprenne, de retour à Lisbonne, la lecture de Maurice Merleau-Ponty et, notamment ses longues considérations sur le chiasme optique dans La Phénoménologie de la perception.
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