Hier après-midi, je suis allé chez mon coiffeur habituel, un Brésilien qui, selon Isabel, réussit à me couper les cheveux comme il faut. Pourtant, à mon avis, le résultat cette fois-ci, était moins bon que d'habitude (c'est la troisième fois que je vais chez lui). J'y suis allé à pied ce qui m'a fait une belle ballade dans Lisbonne, jusqu'à cette partie de la ville où les arbres sont particulièrement majestueux : Principe Real.
J'ai également lu un article magnifique d'Yves Bonnefoy sur la traduction, et plus particulièrement, la traduction de poèmes. Il prend l'exemple du poème "Le Corbeau" d'Edgar Poe qui a été traduit une première fois par Baudelaire, puis, un peu plus tard, par Mallarmé. Mais selon lui, la traduction en français ne rejoint pas la poésie. Ce serait plutôt dans d'autres poèmes originaux de Baudelaire et de Mallarmé, que le poème de Poe pourrait se trouver "traduit" poétiquement.
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