Deux rêves cette nuit : la premier mettait en scène la famille d’où je viens. On venait de déménager et on installait le mobilier. Mon père me demande d’installer une barre de cuivre dans un buffet, le genre de barre à laquelle on suspend des vêtements. Je ne comprends pas cette demande. Ne serait-il pas préférable d’installer une étagère supplémentaire plutôt qu’une barre. Il me faut un mètre pour couper la barre à la bonne longueur. J’ai la barre dans la main mais je ne me résous pas à faire ce bricolage. Pourtant, ma mère insiste et me demande si c’est fait. Non ! Ce n’est pas fait. Mon deuxième rêve implique ma situation dans ma première belle-famille. Agnès a reçu une convocation à la police, une sorte d’injonction liée, croit-elle, à l’accident que j’avais eu avec la 204 qu’elle m’avait prêtée. Et cela l’ennuie beaucoup. Mais, dans le rêve, je pense que cette injonction concerne une autre affaire. Mais je ne dis rien. J’attends qu’elle soit éclairée par les policiers qui traiteront son affaire. Comme je la vois si embêtée, je la serre dans mes bras, une sorte de big hug de tendresse. J’ai l’impression qu’elle en est émue mais elle ne le montre pas et je m’étonne moi-même de ce geste un peu trop familier que j’ai eu spontanément envers elle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire