J'arrive à la fin du premier tome (490 pages) de Knausgaard. Martine m'a dit récemment qu'elle était en train de finir le quatrième volume. Il y en a six. Peut-être y en aura-t-il d'autres après le sixième ? Car après avoir tant écrit sur ce sujet inépuisable qu'est soi-même, comment pourrait-on ne pas continuer. Mais ce n'est jamais seulement de soi-même qu'il est question. Knausgaard nous parle du monde. Il est une lentille orientée vers le monde et c'est du monde qu'il parle en essayant sans cesse de se raccrocher à la lentille pour que le monde ait un sens, comme si le secret du monde se trouvait dans la lentille. Ce qui est sans doute un peu le cas.
Je viens de recevoir un coup de téléphone de Pauline qui m'annonce l'envoi d'un livre que je me réjouis énormément de recevoir. C'est souvent à travers des livres que je retrouve le contact avec Pauline et c'est comme si c'était hier. Aussi frais que lorsqu'elle m'a offert Le schizo et les langues de Wolson, livre qui m'a trotté dans la tête pendant des années et que j'ai lu avec passion. Comme je le disais à Georges, chaque fois que j'ai un contact avec Pauline, cela m'émeut.
Irène m'a envoyé un bel exemple de synchronicité à propos du rêve dont j'ai parlé le 11 février. Un rêve très mystérieux mais dont Irène me montre, par ce thème de méditation qu'elle m'a envoyé, à quel point on peu apprivoiser le mystère, même celui de ses propres rêves, aussi étranges peuvent-ils nous apparaître.
Jérôme m'a offert une toile vierge pour mon anniversaire. Elle est maintenant dans mon bureau et j'ai demandé à Charlotte de me prêter son chevalet. Serait-il possible que j'y vienne ?
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