Hier, à l'aéroport, au moment de me délivrer mes cartes d'embarquement, on me dit que je n'avais pas de siège et que je devrai attendre que tous les passagers soient passés pour obtenir ce siège. "C'est la politique de la compagnie," me dit-on comme pour me rassurer. Il faut que je me fasse à l'idée qu'il est possible que je ne puisse pas partir. Je me rends à la porte d'embarquement et j'avise une des hôtesses qui géraient le flux de passagers. Je lui montre ma carte sans attribution de siège et aussitôt elle écrit à la main le numéro 10C qui me permettra de partir. Une fois dans l'avion, je m'aperçois que beaucoup de sièges ne sont pas occupés. Donc il n'y avait pas de "surbooking". Si je comprends bien la "politique" de la compagnie Easyjet, celle-ci consiste à faire croire aux gens qui n'ont pas acheté de siège au moment de la réservation, qu'ils risquent de se retrouver sans siège au départ de l'avion. C'est une manière détournée de persuader les gens d'acheter leur siège au moment de la réservation. Une arnaque tout simplement.
Arrivé à Luxembourg, Jeannot m'attendait, comme prévu, et je suis maintenant chez lui. J'occupe la chambre de Magali. J'ai passé une nuit relativement tranquille : je ne me suis réveillé que trois fois pour aller à la salle de bains qui n'est pas loin de ma chambre. En fait, j'ai assez bien dormi avec beaucoup de rêves comme d'habitude. Avant d'aller chez lui, nous avons fait une halte au Cactus (nom du supermarché local) pour acheter des citrons verts, des mytilles et quelques denrées alimentaires.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire