Hier, j'ai voulu prendre la voiture pour aller faire quelques courses mais, en approchant de notre chère Toyota, rien ne s'est passé : elle est restée parfaitement silencieuse. Normalement, dès que j'approche avec la clé en poche, elle réagit en débloquant les portières et le coffre, mais là : rien. Une vraie tête de mule. Il faudra faire venir un dépanneur.
J'ai terminé le livre de Pierre Bayard. C'est le quatrième que je lis en quelques jours. Bon ! Je vais passer à autre chose : The Ends of the World par Deborah Danowski et Eduardo Viveiros de Castro (Wiley, 1916). Ce qui m'intrigue c'est le pluriel du mot "ends", "les fins du monde" : voilà qui nous ouvre des horizons. Généralement, la fin ne se conçoit qu'au singulier.
Je cite un commentaire du livre :
In their powerful essay on the climate crisis that humans face today, Danowski and Viveiros de Castro propose nothing short of a radically new and pluralist philosophical anthropology that is bound to reinvigorate humanist and post-humanist debates on anthropogenic global warming. A brilliant tour de force.
Dipesh Chakrabarty, The University of Chicago
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire