J'ai accroché le portrait de mon père, peint par le Baron Antoine Allard en 1949, que Martine m'a gentilment laissé en dépôt au moment de l'héritage. Nous allons sans doute lui fabriquer un cadre prochainement. Les mains sont un peu ratées mais c'est bien lui, quand même. Je l'ai mis sur un mur dans mon dos. Comme ça, il ne me quitte pas des yeux. Il me voit travailler, mais il peut aussi voir le ciel et les avions qui traversent la rue toutes les cinq minutes.
* * *
Je dois partir et rendre visite à Z.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire