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mercredi 3 avril 2019

Écrire

La coupe du ciel est pleine de nuages qui débordent de temps en temps sur la terre. C'est bon pour l'agriculture me disait Simon, car en effet, il semble qu'il y avait une vrais sècheresse dans le Gers depuis quelque temps. 
J'avais l'intention en venant ici de me consacrer à plein temps sur la traduction du livre de Zbyszek sur Bachelard mais je viens de recevoir un message d'un collègue de l'Université de Metz qui attend mon papier sur la "scriptoralité de la science". Le délai était fin mars. Il est donc déjà dépassé. Mais je dois absolument avancer dans la rédaction de cet article qui sera sans doute mon dernier. Je sais parfaitement bien ce que je veux dire mais j'ai peur que le manque de références sur place ne me bloque à un moment donné. 
Hier soir, j'ai travaillé sur la Préface du livre de Christine. Je pense que je vais lui envoyer ce que j'ai écrit jusqu'à présent pour qu'elle me dise si ça lui convient. Les informations qu'elle m'a encore envoyées récemment sont précieuse pour finir ce travail.
J'ai également lu un livre récent de Pierre Lemaître : Couleurs de l'incendie. Les enfants du désastre (2019). C'est censé être la suite d'Au revoir là-haut, que je n'avais pas apprécié car j'y voyais une sorte de remake littéraire de La chambre des officiers de Marc Dugain. Il se prend un peu pour le "Zola" du XXIe siècle dans la description qu'il nous donne de la vie bourgeoise dans l'entre-deux guerres à Paris. Mais la qualité de son écriture est loin d'égaler celle de Zola.

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