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samedi 5 octobre 2019

Papous

Lucia et Pedro sont venus déjeuner avec nous, mais aussi, ils ont apporté le déjeuner, un ragoût d'agneau alentejano. C'était vraiment délicieux. J'ai quitté mon lit et je me suis habillé. Mais très vite, la nécessité de bouger de 36 manières différentes a relancé une succession de spasmes assez douloureux. Dès qu'ils sont partis, je me suis remis au lit et mon immobilité relative a eu des effets quasi immédiats : les spasmes se sont raréfiés jusqu'à disparition presque complète. Ouf. 

J'ai poursuivi la lecture du livre de Nicolas Rouillé sur les Papous. Je comptais le finir aujourd'hui mais je ne crois pas que ce sera possible. C'est moins un roman qu'un livre d'anthropologie sur le situation à la fois économique, culturelle et politique des Papous par rapport à l'Indonésie, et à l'impérialisme américain. L'auteur a un talent remarquable pour nous faire sentir là-bas, sous une pluie qui ne cesse presque jamais, marchant dans la boue à la rencontre des orpailleurs qui grignotent les poussières d'or négligées par les Américains. 

Cette atmosphère de la Papouasie, on la retrouve assez bien en images à travers le récit par Alex Vizeo de son trek là-bas.

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