Hier après-midi, je suis allé au nouveau cabinet d'Izilda, mon acuponctrice portugaise, qui m'a accueilli très chaleureusement avec ses aiguilles, ses huiles parfumées, son accompagnement sophrologique pour redonner à mon corps le calme qu'il mérite après les tempêtes chirugicales qui l'ont stressé pendant quinze jours. Donc, je suis resté allongé sur la marquesa pendant un peu plus d'une heure, contrôlant ma respiration pour que celle-ci puisse engendrer un peu de tranquillité au niveau des cinq chakras qui conditionnent mes énergies. Rien que le parfun d'ambiance du cabinet vous plongent dans une sorte d'hypnose apaisante. La voix d'Izilda agissait comme une sorte d'horizon sonore, dont la douceur donnait de la profondeur aux effets gravitationnels qui faisaient tomber mon corps dans l'abîme de son propre poids. Cela m'a fait du bien. Certainement.
Je ne me sens pas encore en pleine forme, certes. Mais ça va mieux dans un monde en plein changement. Notre salle de séjour est encombrée d'une multitude de caisses en attente d'être transportées dans notre nouvelle maison, qui est toujours en travaux. Demain soir, ma sœur Marine vient me voir. Et trois jours après, j'aurai la visite de ma œur Françoise. Elles ne sont plus très jeunes mais elles sont courageuses et pleines d'énergie, comme presque toutes les femmes. Je me sens très soutenu par leur bienveillance et leur amour.
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