J’ai lu deux nouvelles de Tabuchi, hier soir avant de m’endormir. J’ai trouvé son écriture magnifique.
Dehors il fait gris. Cela fait plusieurs jours que nous ne sommes pas gâtés par le temps. Alors je reste à la maison, téléphonant à Martine ou Charlotte de temps en temps, lisant, parlant aux chats qui me répondent parfois, surtout quand l’heure du dîner arrive, etc... Bref une vie de retraité comme en rêvait Feyerabend quand il avait douze ou treize ans !
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