Hier, j’ai lu le polar d’Hervé Le Corre, Du sable dans la bouche (Rivages/noir, 2016) qui raconte les turbulences d’un groupe de terroristes basques en pleine action. Pas mal. Aujourd’hui, je viens de finir un roman de Georges Siméon, L’escalier de fer, qui décrit, du point de vue du mari, la vie d’un couple pétri par les habitudes de la vie commune, les non-dits qui se devinent à travers des signes quasi-imperceptibles, la peur de l’autre, la peur de la trahison, l’angoisse tout simplement, liée à cette intimité irremplaçable avec l’autre qui reste, malgré tout, un inconnu, une inconnue…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire