Charlotte et Johni sont à Madrid. Ils m'ont téléphoné aujourd'hui et tout va bien, semble-t-il. Ils sont allés dans une brocante et ont acheté des fringues. J'avoue ne pas comprendre cette fringale de fringues dont ils témoignent tous les deux. Ils ont un nombre incroyables de vestes, anoraks, manteaux, chapeaux et ils continuent à en acheter, heureusement dans des magasins de frippes ou dans des brocantes c'est-à-dire à des prix très modérés.
Hier après-midi, j'ai continué à lire les chroniques de Preciado et j'ai trouvé ces textes à la fois très violents et remarquables dans leur remise en question des normes et des prescriptions qui caractérisent nos sociétés. C'est un livre que beaucoup de gens devraient lire non pas pour qu'ils adoptent les idées de l'auteur mais plutôt pour qu'ils se rendent compte des œillères que notre monde civilisé nous imposent sur toutes les questions relatives au genre et au sexe.
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