Ambiance de fin du monde. Rues désertes. Même l'épicier qui se trouve au rez-de-chaussée de notre immeuble a fermé sa boutique. Il n'avait pas voulu la fermer quand il a été question de faire des travaux importants qui auraient impliqué une fermeture provisoire. Son chiffre d'affaire en aurait trop souffert, nous a-t-il dit. Mais voilà : le coronavirus a réussi à le convaincre de sacrifier une partie de son chiffre d'affaire pour rester en vie. C'est bien. Il est question que le gouvernement portugais déclare l'état d'urgence, auquel cas, nous ne pourrions plus sortir de chez nous.
Isabel est sortie pour aller chez Leroi-Merlin pour acheter des fournitures essentielles, tant qu'il est encore possible de sortir.
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