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mardi 4 septembre 2018

Peter May

J'ai reçu des nouvelles d'Eric H. aujourd'hui. Il me conseillait la lecture de la trilogie Lewis par Peter May. J'ai aussitôt téléchargé le livre en anglais sur mon kindle et j'ai commencé à lire. Il s'agit d'un polar qui se passe dans les Hébrides au nord de l'Ecosse. Le livre est superbe et, comme souvent, j'ai sélectionné un passage qui m'a paru intéressant. Le voici :


It’s odd how people can get locked into a kind of timewarp. There’s a time in their lives that defines them, and they hang on to it for all the subsequent decades; the same hair, the same style of clothes, the same music, even though the world around them has changed beyond recognition. My aunt was locked in the sixties. Teak furniture, purple carpets, orange paint, The Beatles. Mr Macinnes listened to The Eagles. I recall tequila sunrises and new kids in town, and life in the fast lane. » (de « The Blackhouse: Book One of the Lewis Trilogy » par Peter May)

L'écriture de ce roman est magnifique et l'on ne peut guère abandonner la lecture. C'est sans doute pour cette raison que je suis en retard pour écrire mon billet quotidien. Après La vie devant soi, d'Emile Ajar dont j'ai dégusté la relecture il y a deux jours, c'est un tout autre monde qui s'offre à mon attention de lecteur.

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