Voici comment les Japonais réussissent à préserver le bois qui doit rester en plein air. On le brûle sur un millimètre d'épaisseur. Le bois devient noir. C'est mieux que la peinture, disais-je à Isabel en regardant le spécialiste travailler avec son brûleur au gaz. On a d'abord essayé sur l'envers de la table. Ça a l'air de fonctionner comme prévu. Je me réjouis de voir le résultat final.
Je suis en train de lire le roman de Colum McCann, Zoli, Belfond, 2007, que m'a donné Richard avant son départ pour le couvent : une très belle écriture irlandaise dans la traduction de Jean-Luc Piningre. Passionnant.
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