À midi, je suis allé manger au restaurant qui autrefois s’appelait le Renard prêchant. Il y avait Bernard, Mimi, Josiane et moi. Tout ce qu’il faut pour que l’ambiance soit bonne et joyeuse. C’est là que j’ai appris que maintenant, il était possible de cultiver les girolles. Je croyais que c’était impossible, et bien, non ! C’est fait : on cultive les girolles… adieu les belles ballades en forêt à la recherche du coin qui nous permettait de revenir avec des paniers pleins de girolles. Finalement, c’est un peu triste quand même. Notre déjeuner fut très animé et plein de souvenirs avec une Mimi bien remontée et pleine d’enthousiasme. J’ai pris un risotto aux « baby girolles ». Ainsi, non seulement on peut les cultiver, mais encore on peut se permettre de les ramasser encore toutes jeunes. Incroyable. Josiane m’a appris dans la foulée que l’on pouvait cultiver les morilles. On n’arrête pas le progrès !
Ce soir, je vais dîner chez Patrick avec Marianne. J’espère que tout ira bien.
j'ai l'impression que la cultivation des girolles n'a pas encore atteint un niveau très élevé...
RépondreSupprimerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Girolle#Commercialisation,_essais_de_culture
la cultivation des morilles, par contre, a l'air d'être assez prometteur...
RépondreSupprimer'Depuis 2017, avec l'arrivée sur le marché d'acteurs tel que FranceMorille, la production de masse sous serre en pleine nature est possible. À partir de semis et de techniques venues de Chine, on enregistre dès 2016 une production moyenne de 2 tonnes de morilles par hectare. Les serres permettent ainsi de reproduire des conditions de production et un climat optimal.'
https://fr.wikipedia.org/wiki/Morchella#Culture