C’est l’heure où le vent se lève, mais justement, l’air semble apaisé et serein. Le ciel semble avoir aplati les nuages. Ceux-ci n’ont plus les joues gonflées de colère ou de chagrin. On entend des avions. Au loin. Ce bruit de fond participe à cette impression d’horizontalité. De latence. D’attente en fait. Une attente d’on ne sait pas quoi, mais c’est une attente quand même.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire