Comme je l'avais promis, je ramène un kilo de glucose à Isabel pour les futures pâtes de fruit qu'elle veut faire. Fred me donne un kilo de glucose dans un pot qui n'a jamais été ouvert. Arrivé à Lisbonne, j'ouvre ma valise et... que vois-je ? le couvercle avait sauté et le glucose s'était répandu dans ma valise, poissant toutes mes affaires : ma trousse de toilette, mes chargeurs d'ordinateur et de téléphone, les fils, mes chaussettes, bref tout ce que je ramenais de Luxembourg et notamment les pâtes de fruit confectionnées avec amour par Fred. Quelle déception !
Et pourtant, à l'aéroport, en attendant ma valise, je me disais : "Ce serait bien si c'était la première à venir..." et... oh surprise, ma valise fut bien la première à avoir été livrée. Les tapis roulants se mettent en marche et j'aperçois les roulettes de mon petit bagage noir, oscillant faiblement à la tête de tous les autres. Je n'en revenais pas. Mais je ne savais pas encore le désastre que me réservait l'intérieur de cette valise.
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