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vendredi 26 juillet 2019

Ranger

Isabel part aujourd'hui pour aller voir sa sœur à 120 km au nord de Lisbonne. Elle prend la voiture et sera sans doute absente pendant une dizaine de jours. Pendant ce temps-là, j'aurai pas mal d'examens médicaux. Je serai seul avec Charlotte et Johni. Je vais en profiter pour ranger un peu mes papiers qui sont dans un grand désordre pour le moment. Ce sont des piles par terre au pied de ma table de travail. Il faut dire que je n'ai aucun meuble de rangement depuis que l'on vit dans cet appartement qui, en été, je dois l'avouer, est particulièrement agréable parce que très frais. Nous ne souffrons absolument pas de la chaleur, ce qui, en ces temps de canicule, est un privilège rare. J'espère que nous serons épargnés également dans notre nouvelle maison qui avance bien. Je pourrai bientôt publier des photos de l'immeuble, débarrassé de ses échafaudages. Je m'en réjouis.

J'ai été injuste envers Isabel qui m'a toujours accompagné pour mes examens médicaux et fait preuve d'une patience infinie vis-à-vis de mes ennuis de santé. Elle a patienté avec moi pendant des heures dans des hôpitaux dont les salles d'attente ressemblent à des cours de miracle. Elle ne s'est jamais plainte de ces moments difficiles qui bien souvent lui faisient perdre beaucoup de temps. Je tiens à lui rendre hommage ici. 

1 commentaire:

  1. Cher Baudouin,
    J’avais rédigé une longue réponse à ta dernière publication dans ton blog, mais je n’ai pas réussi à la publier et elle a disparu dans les entrailles du web.
    Je te remerciais pour ta précision et précisais à mon tour que ces quelques jours que je parts chez ma sœur pour l’aider à aménager sa nouvelle maison, ce sont justement les quelques jours où tu n’as pas d’examens importants.
    C’est toujours de bon gré et avec tout mon sens de la fraternité et de la solidarité que je t’accompagne dans ces rudes épreuves que je préférerais que tu n’aies pas à subir.
    Ça fait partie du deal : pour le meilleur et pour le pire, dans la santé et dans la maladie, dans la joie et dans la douleur.
    Ne nous plaignons pas, on a aussi eu le meilleur de la joie, de l’entente à tous les niveaux, de l’amour.
    Le pire, dans notre cas, ce serait l’abandon. Et il n’en est pas question, en tout cas pour moi.
    À deux nous multiplions les joies et partageons les douleurs. Ainsi soit-il encore pendant longtemps.
    Voilà, c’est dit. Il ne manque plus qu’à le publier pour que mon « droit de réponse » soit lu aussi par tes lecteurs 🙂
    Prend soin de toi.
    Love
    I.

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